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Ecology letters interdit la publication de pre-print avant soumission des papiers aux revues (genre bioRxiv, arxiv, etc). Une très bonne synthèse de pourquoi c'est une décision criticable.
Je suis complètement d'accord avec lui: (i) La définition d'une politique éditoriale d'une revue ne doit concerner que la revue en elle même, et non se substituer au chercheur dans sa définition de stratégie de recherche (même si cette stratégie est mauvaise), (ii) les éditeurs sont en général content lorsqu'un papier a déjà été relu et critiqué par des spécialistes du domaine (d'ailleurs, pour les grandes revues comme Nature et Science, c'est même une obligation d'avoir déjà fait relire l'article par des spécialistes avant la soumission et l'envoi aux référés), (iii) la rapidité de publication dans Ecology letters ne concerne qu'un très petit pourcentage des articles soumis, (iv) Ecology letters peut parfaitement n'être pas le premier choix de revue, et en contraignant les auteurs à éviter les relectures au cas où.
Surtout la décision est très bizarre quand on connaît l'importance que revêt ArXiv chez les matheux, et comment ce système permet d'augmenter la qualité générale de la recherche dans ce domaine!
Je suis complètement d'accord avec lui: (i) La définition d'une politique éditoriale d'une revue ne doit concerner que la revue en elle même, et non se substituer au chercheur dans sa définition de stratégie de recherche (même si cette stratégie est mauvaise), (ii) les éditeurs sont en général content lorsqu'un papier a déjà été relu et critiqué par des spécialistes du domaine (d'ailleurs, pour les grandes revues comme Nature et Science, c'est même une obligation d'avoir déjà fait relire l'article par des spécialistes avant la soumission et l'envoi aux référés), (iii) la rapidité de publication dans Ecology letters ne concerne qu'un très petit pourcentage des articles soumis, (iv) Ecology letters peut parfaitement n'être pas le premier choix de revue, et en contraignant les auteurs à éviter les relectures au cas où.
Surtout la décision est très bizarre quand on connaît l'importance que revêt ArXiv chez les matheux, et comment ce système permet d'augmenter la qualité générale de la recherche dans ce domaine!
Un article de TREE hors de mon champs de compétence, mais dont je garde le lien rien que pour le titre. ya des géns qui savent écrire un titre accrocheur. Et le résumé.
Ça me donne envie de lire l'article.
Un jour peut-être.
Ça me donne envie de lire l'article.
Un jour peut-être.
Marrant. Et yen a plein d'autres sur le site.
Via Mathieu. Intéressant.
Marrant. Et j'aime bien le Calvin et Hobbes.
Intéressant. Des conseils pour les éditeurs de revues scientifiques pour identifier les reviews pourries. En bref:
* Si la review fait un paragraphe de long, elle est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est clairement un adversaire (aveuglément opposé aux idées, sans discussion sur le travail en lui-même), la review est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est un copain de l'auteur, il sera un peu trop complaisant, donc vérifier les collaborations entre auteur et référé
* Si le reviewer se concentre sur le manque de nouveauté du papier: Novelty is a poisoned chalice – don’t fall into the trap of thinking that all papers have to be absolutely, ground-shakingly and Earth-shatteringly novel. True novelty is very rare.
* Si la review fait un paragraphe de long, elle est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est clairement un adversaire (aveuglément opposé aux idées, sans discussion sur le travail en lui-même), la review est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est un copain de l'auteur, il sera un peu trop complaisant, donc vérifier les collaborations entre auteur et référé
* Si le reviewer se concentre sur le manque de nouveauté du papier: Novelty is a poisoned chalice – don’t fall into the trap of thinking that all papers have to be absolutely, ground-shakingly and Earth-shatteringly novel. True novelty is very rare.
Tiens? un papier dans TREE sur la possibilité d'introduire une mesure de la qualité du processus de review pour chaque revue.
À récupérer et lire un jour
À récupérer et lire un jour
Un post de Ben Bolker très intéressant: lorsque l'on développe un logiciel de stats on doit atteindre un compromis entre logiciel super facile à utiliser, user friendly et tout (mais qui du coup, risque implicitement de suggérer à l'utilisateur qu'il n'a pas besoin de comprendre ce qu'il fait) et un logiciel qui va demander à l'utilisateur un investissement plus important pour en comprendre la logique, garantissant de ce fait une compréhension minimale et de fait, un risque d'erreur plus faible. Mais ce faisant, on diminue de la même façon le nombre d'utilisateurs.
Le compromis n'est pas si simple à trancher. En outre, il est souvent difficile de concevoir des garde-fous, comme bolker le décrit bien dans ses exemples. Cela dit, en conclusion, il semble trancher: "There’s nothing like a broad user base for finding new, exciting applications, and having people use your methods to do interesting science may be the best reward."
Le compromis n'est pas si simple à trancher. En outre, il est souvent difficile de concevoir des garde-fous, comme bolker le décrit bien dans ses exemples. Cela dit, en conclusion, il semble trancher: "There’s nothing like a broad user base for finding new, exciting applications, and having people use your methods to do interesting science may be the best reward."
Joli (via le hollandais volant)
Via sebsauvage. Marrant, faudra que j'essaie...
marrant
Les images de la course d'amibes.
Après la course de lévrier, la course d'amibes génétiquement modifiées. Moi, je te me commencerait par te me les doper à l'EPO...
À lire, quand j'aurai le temps
Un groupe de chercheur travaillant sur l'interaction maths/environnement/écologie
Ce sont des choses qui arrivent
Ahem.
Les ricains, hein...
Les ricains, hein...
Intéressant...
(via mathieu) Un gars qui expose ce qu'il attend des membres de son labo, et qui en retour, expose ce que ces membres sont en droit d'attendre de lui.
Clair et net.
Clair et net.
Le débat continue. Voir aussi le commentaire, même si je ne vois pas bien où le commentateur veut en venir: je suis d'accord que la donnée est plus couteuse que le logiciel, et je suis d'accord qu'un logiciel ou une méthode peuvent être utilisées de multiples fois, contrairement aux données qu'il est mal vu d'utiliser de nombreuses fois (bootstrapping papers). Et donc?