2388 shaares
Ça s'arrange pas...
À garder sous le coude: comment se faire un polycopié à partir d'une présentation beamer. À noter: l'utilisation de pdfnup pour combiner plusieurs diapos en une.
Et la petite remarque assassine "(sorry Windows users, you need a real computer to do this)". Hin hin.
Et la petite remarque assassine "(sorry Windows users, you need a real computer to do this)". Hin hin.
Eh ben ils ont fait du beau boulot les ricains... C'était bien la peine de la ramener en 2003 si c'est pour que ça finisse comme ça...
c'est vrai. Il suffit de lire un article sur Rue89 pour voir à quel points les commentaires peuvent être pourris. Même sur des articles super neutres, ya des commentateurs qui ont le chic pour atteindre le point godwin...
Cela dit, je les lis toujours.
Cela dit, je les lis toujours.
Me coucherai moins con.
Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la stupidité peut expliquer
Marrant. Et j'aime bien le Calvin et Hobbes.
Intéressant. Des conseils pour les éditeurs de revues scientifiques pour identifier les reviews pourries. En bref:
* Si la review fait un paragraphe de long, elle est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est clairement un adversaire (aveuglément opposé aux idées, sans discussion sur le travail en lui-même), la review est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est un copain de l'auteur, il sera un peu trop complaisant, donc vérifier les collaborations entre auteur et référé
* Si le reviewer se concentre sur le manque de nouveauté du papier: Novelty is a poisoned chalice – don’t fall into the trap of thinking that all papers have to be absolutely, ground-shakingly and Earth-shatteringly novel. True novelty is very rare.
* Si la review fait un paragraphe de long, elle est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est clairement un adversaire (aveuglément opposé aux idées, sans discussion sur le travail en lui-même), la review est naze dans 90% des cas
* Si le reviewer est un copain de l'auteur, il sera un peu trop complaisant, donc vérifier les collaborations entre auteur et référé
* Si le reviewer se concentre sur le manque de nouveauté du papier: Novelty is a poisoned chalice – don’t fall into the trap of thinking that all papers have to be absolutely, ground-shakingly and Earth-shatteringly novel. True novelty is very rare.
Des infos utiles sur le DIC, et quelques papiers importants
Tiens? un papier dans TREE sur la possibilité d'introduire une mesure de la qualité du processus de review pour chaque revue.
À récupérer et lire un jour
À récupérer et lire un jour
Reçu sur R-SIG-geo: comment installer différents logiciels de géostats sur linux.
Un post de Ben Bolker très intéressant: lorsque l'on développe un logiciel de stats on doit atteindre un compromis entre logiciel super facile à utiliser, user friendly et tout (mais qui du coup, risque implicitement de suggérer à l'utilisateur qu'il n'a pas besoin de comprendre ce qu'il fait) et un logiciel qui va demander à l'utilisateur un investissement plus important pour en comprendre la logique, garantissant de ce fait une compréhension minimale et de fait, un risque d'erreur plus faible. Mais ce faisant, on diminue de la même façon le nombre d'utilisateurs.
Le compromis n'est pas si simple à trancher. En outre, il est souvent difficile de concevoir des garde-fous, comme bolker le décrit bien dans ses exemples. Cela dit, en conclusion, il semble trancher: "There’s nothing like a broad user base for finding new, exciting applications, and having people use your methods to do interesting science may be the best reward."
Le compromis n'est pas si simple à trancher. En outre, il est souvent difficile de concevoir des garde-fous, comme bolker le décrit bien dans ses exemples. Cela dit, en conclusion, il semble trancher: "There’s nothing like a broad user base for finding new, exciting applications, and having people use your methods to do interesting science may be the best reward."
Intéressant. J'aime bien ce blog.
Joli (via le hollandais volant)
marrant
marrant
toujours utile.
Via sebsauvage. Marrant, faudra que j'essaie...
Le lézard à corne utilise une stratégie dégueulasse pour repousser ses prédateurs: il éjecte un filet de sang par les yeux sur le prédateur.
C'est vraiment dégueulasse.
C'est vraiment dégueulasse.