2353 shaares
Marrant
Ah yen a des pas mal!
Raciste et sexiste en une image... Trouverez pas pire.
J'aime bien Larcenet...
Via le hollandais volant. Mon ordi du boulot est sous ubuntu, et mon perso est sous archlinux. Je sais pas trop comment je dois le prendre.
Probable qu'il faudrait que je passe à la backtrack... Pas sûr que ce soit si facile de travailler sérieusement là-dessus?
Probable qu'il faudrait que je passe à la backtrack... Pas sûr que ce soit si facile de travailler sérieusement là-dessus?
Ya des gens qui savent faire la pub de leur papier...
À lire donc.
À lire donc.
Who is allowed to cheat? I.J. Good and that after dinner comedy hour…. | Error Statistics Philosophy
À lire un jour...
Via le hollandais volant
blagues drôles.
Enfin blagues.
Enfin blagues.
La plus grosse bombe atomique ayant jamais explosé. Vinzou... D'après Wikipedia:
La bombe explosa à 11h32 (heure de Moscou), le 30 octobre 1961, à une altitude de 4 000 m au-dessus de la cible (73° 32′ 40″ N 54° 42′ 21″ E) et 4 200 m au-dessus du niveau de la mer, lors d’un test dans l’archipel de la Nouvelle-Zemble (océan Arctique). Elle fut larguée d’un bombardier Tu-95, piloté par Andreï E. Dournovtsev, de 13 000 m d’altitude. La bombe était équipée d’un parachute pour permettre au bombardier de s’éloigner à une distance de sécurité de la zone d’explosion. La détonation développa une boule de feu de 7 km de diamètre. L’éclair de l’explosion fut visible à plus de 1 000 km du point d’impact et le champignon atomique en résultant parvint à une altitude de 64 km avec un diamètre de 30 à 40 km.
Au niveau de l’explosion, tout était effacé, le sol avait été nivelé et faisait penser à une « patinoire ». Des maisons de bois furent détruites à des centaines de kilomètres, d’autres perdirent leur toit. La chaleur fut ressentie à 300 km. La Tsar Bomba pouvait infliger des brûlures au troisième degré à plus de 100 km de distance, alors que la zone de destruction complète se situait dans un rayon de 25 km, et la zone de dommages importants à un rayon de 35 km3.
L’explosion a été estimée à 57 mégatonnes par les États-Unis. Plus tard, les scientifiques russes ont annoncé une puissance de 50 mégatonnes. Par comparaison, la bombe Little Boy avait une puissance de 13 à 16 kilotonnes (0,013 à 0,016 mégatonne) soit 3125 fois moins forte. Les Soviétiques auraient limité la puissance, prévue initialement à 100 mégatonnes, afin selon les mots de Khrouchtchev, « de ne pas briser tous les miroirs de Moscou ».
La bombe explosa à 11h32 (heure de Moscou), le 30 octobre 1961, à une altitude de 4 000 m au-dessus de la cible (73° 32′ 40″ N 54° 42′ 21″ E) et 4 200 m au-dessus du niveau de la mer, lors d’un test dans l’archipel de la Nouvelle-Zemble (océan Arctique). Elle fut larguée d’un bombardier Tu-95, piloté par Andreï E. Dournovtsev, de 13 000 m d’altitude. La bombe était équipée d’un parachute pour permettre au bombardier de s’éloigner à une distance de sécurité de la zone d’explosion. La détonation développa une boule de feu de 7 km de diamètre. L’éclair de l’explosion fut visible à plus de 1 000 km du point d’impact et le champignon atomique en résultant parvint à une altitude de 64 km avec un diamètre de 30 à 40 km.
Au niveau de l’explosion, tout était effacé, le sol avait été nivelé et faisait penser à une « patinoire ». Des maisons de bois furent détruites à des centaines de kilomètres, d’autres perdirent leur toit. La chaleur fut ressentie à 300 km. La Tsar Bomba pouvait infliger des brûlures au troisième degré à plus de 100 km de distance, alors que la zone de destruction complète se situait dans un rayon de 25 km, et la zone de dommages importants à un rayon de 35 km3.
L’explosion a été estimée à 57 mégatonnes par les États-Unis. Plus tard, les scientifiques russes ont annoncé une puissance de 50 mégatonnes. Par comparaison, la bombe Little Boy avait une puissance de 13 à 16 kilotonnes (0,013 à 0,016 mégatonne) soit 3125 fois moins forte. Les Soviétiques auraient limité la puissance, prévue initialement à 100 mégatonnes, afin selon les mots de Khrouchtchev, « de ne pas briser tous les miroirs de Moscou ».
Marrant.
La véritable et authentique histoire de pacman.
On donne toujours à une expression du visage, même lorsque celui-ci est inexpressif, une signification en fonction du contexte dans lequel cette expression apparaît. Même si c'est dans un reportage et que l'expression n'a rien à voir avec la choucroute.
Via Mathieu.
Via Mathieu.
Les papiers de stats incontournables
Intéressant
Ah bon? ah bon.
À lire
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Toujours utile, via le hollandais volant
Pour générer des animations flash à partir de pdf (très pratique pour le package animation)
Un outil en ligne pour intégrer une expression. Super utile!