2337 shaares
La plus grosse bombe atomique ayant jamais explosé. Vinzou... D'après Wikipedia:
La bombe explosa à 11h32 (heure de Moscou), le 30 octobre 1961, à une altitude de 4 000 m au-dessus de la cible (73° 32′ 40″ N 54° 42′ 21″ E) et 4 200 m au-dessus du niveau de la mer, lors d’un test dans l’archipel de la Nouvelle-Zemble (océan Arctique). Elle fut larguée d’un bombardier Tu-95, piloté par Andreï E. Dournovtsev, de 13 000 m d’altitude. La bombe était équipée d’un parachute pour permettre au bombardier de s’éloigner à une distance de sécurité de la zone d’explosion. La détonation développa une boule de feu de 7 km de diamètre. L’éclair de l’explosion fut visible à plus de 1 000 km du point d’impact et le champignon atomique en résultant parvint à une altitude de 64 km avec un diamètre de 30 à 40 km.
Au niveau de l’explosion, tout était effacé, le sol avait été nivelé et faisait penser à une « patinoire ». Des maisons de bois furent détruites à des centaines de kilomètres, d’autres perdirent leur toit. La chaleur fut ressentie à 300 km. La Tsar Bomba pouvait infliger des brûlures au troisième degré à plus de 100 km de distance, alors que la zone de destruction complète se situait dans un rayon de 25 km, et la zone de dommages importants à un rayon de 35 km3.
L’explosion a été estimée à 57 mégatonnes par les États-Unis. Plus tard, les scientifiques russes ont annoncé une puissance de 50 mégatonnes. Par comparaison, la bombe Little Boy avait une puissance de 13 à 16 kilotonnes (0,013 à 0,016 mégatonne) soit 3125 fois moins forte. Les Soviétiques auraient limité la puissance, prévue initialement à 100 mégatonnes, afin selon les mots de Khrouchtchev, « de ne pas briser tous les miroirs de Moscou ».
La bombe explosa à 11h32 (heure de Moscou), le 30 octobre 1961, à une altitude de 4 000 m au-dessus de la cible (73° 32′ 40″ N 54° 42′ 21″ E) et 4 200 m au-dessus du niveau de la mer, lors d’un test dans l’archipel de la Nouvelle-Zemble (océan Arctique). Elle fut larguée d’un bombardier Tu-95, piloté par Andreï E. Dournovtsev, de 13 000 m d’altitude. La bombe était équipée d’un parachute pour permettre au bombardier de s’éloigner à une distance de sécurité de la zone d’explosion. La détonation développa une boule de feu de 7 km de diamètre. L’éclair de l’explosion fut visible à plus de 1 000 km du point d’impact et le champignon atomique en résultant parvint à une altitude de 64 km avec un diamètre de 30 à 40 km.
Au niveau de l’explosion, tout était effacé, le sol avait été nivelé et faisait penser à une « patinoire ». Des maisons de bois furent détruites à des centaines de kilomètres, d’autres perdirent leur toit. La chaleur fut ressentie à 300 km. La Tsar Bomba pouvait infliger des brûlures au troisième degré à plus de 100 km de distance, alors que la zone de destruction complète se situait dans un rayon de 25 km, et la zone de dommages importants à un rayon de 35 km3.
L’explosion a été estimée à 57 mégatonnes par les États-Unis. Plus tard, les scientifiques russes ont annoncé une puissance de 50 mégatonnes. Par comparaison, la bombe Little Boy avait une puissance de 13 à 16 kilotonnes (0,013 à 0,016 mégatonne) soit 3125 fois moins forte. Les Soviétiques auraient limité la puissance, prévue initialement à 100 mégatonnes, afin selon les mots de Khrouchtchev, « de ne pas briser tous les miroirs de Moscou ».